(La rédaction) Le 18 septembre 2021, lors d’une conférence publique tenue à Limoilou, des groupes communautaires, féministes, étudiants, syndicaux et écologistes ont annoncé un automne qui sera marqué par la mobilisation et la relance du mouvement pour la justice sociale et environnementale.

Le panel composé de représentant·e·s de la Coalition régionale de la Marche mondiale des femmes, de Nature Québec, de l’Association pour la défense des droits sociaux Québec-métro, de la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social et du Conseil central de Québec et Chaudière-Appalaches nous a entretenu sur les enjeux à venir, les priorités de chaque organisation, et aussi sur comment construire une lutte unitaire et solidaire.

Pour les personnes présentes, les mesures entamées par le gouvernement de la CAQ pour limiter les émissions de gaz à effet de serre sont insuffisantes et ont peu d’impact. Elles se limitent surtout à des incitatifs financiers. De plus, des projets très polluants et dommageables pour l’environnement, tels que le 3e lien, ont toujours l’appui du gouvernement et ce, malgré que le GIEC (groupe d’experts intergouvernementaux sur le climat) ait enjoint les pays à redoubler d’efforts afin de limiter la hausse de la température globale à 1,5 degré Celsius et ainsi prévenir les catastrophes climatiques. La CAQ entraîne le Québec dans le sens contraire.

On se revoit dans la rue!

Une rentrée parlementaire dans la rue !